
Le nouveau jeu de Bandai Namco, Death Note : Killer Within, devrait être lancé le 5 novembre, apportant l'anime emblématique à une expérience de jeu de déduction sociale qui rappelle Among Us. Disponible sur PC, PS4 et PS5, et inclus dans la gamme PlayStation Plus de novembre, ce titre en ligne uniquement oppose les joueurs dans le rôle de Kira, la célèbre manieuse de Death Note, ou de membres de l'équipe d'enquête de L.
Jusqu'à dix joueurs s'engagent dans un jeu passionnant de tromperie et de déduction. L'équipe de Kira vise à rester inaperçue tout en éliminant ses adversaires, tandis que l'équipe de L s'efforce de découvrir l'identité de Kira et de s'emparer du Death Note. Le gameplay se déroule en deux phases : une phase d'action où les joueurs rassemblent des indices et effectuent des tâches, et une phase de réunion pour les accusations et le vote.
Death Note: Killer Within propose des capacités de personnage uniques et des options de personnalisation, notamment des accessoires à débloquer et des effets spéciaux. Les adeptes de Kira reçoivent des communications privées et peuvent même hériter du Death Note, ajoutant ainsi une autre couche de profondeur stratégique. L, quant à lui, possède des outils d'enquête uniques comme les caméras de surveillance, offrant un avantage certain.
Développé par Grounding, Inc., le prix du jeu n'a pas été annoncé, ce qui soulève des inquiétudes quant à la compétitivité potentielle du marché. Un prix élevé, similaire à celui du lancement initial de Fall Guys, pourrait entraver son succès. Cependant, la forte IP de Death Note et son inclusion dans PlayStation Plus pourraient considérablement augmenter sa popularité. La fonctionnalité de jeu croisé sur les plates-formes PC (Steam) et PlayStation garantit une base de joueurs plus large. Le jeu promet un gameplay intense, un travail d'équipe stratégique et des moments potentiellement viraux, ce qui en fait un ajout convaincant au genre de déduction sociale.